DIALGIREX, gélule, boîte de 100
Retiré du marché le : 03/03/2011
Dernière révision : 14/03/2007
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
Traitement symptomatique des affections douloureuses d'intensité modérée à intense, et/ou ne répondant pas à l'utilisation d'antalgiques périphériques seuls.
CONTRE-INDIQUE :
- Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
. Hypersensibilité à l'un des constituants.
. Enfants de moins de 15 ans.
- Contre-indications liées au paracétamol :
. allergie au paracétamol,
. insuffisance hépatocellulaire.
- Contre-indications liées au dextropropoxyphène :
. allergie au dextropropoxyphène,
. insuffisance rénale sévère,
. allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de dextropropoxyphène à des doses thérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
La prise concomitante de dextropropoxyphène est déconseillée avec :
. l'alcool et les médicaments contenant de l'alcool,
. les agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine),
. la carbamazépine,
. la naltrexone.
- Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
. Hypersensibilité à l'un des constituants.
. Enfants de moins de 15 ans.
- Contre-indications liées au paracétamol :
. allergie au paracétamol,
. insuffisance hépatocellulaire.
- Contre-indications liées au dextropropoxyphène :
. allergie au dextropropoxyphène,
. insuffisance rénale sévère,
. allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de dextropropoxyphène à des doses thérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
La prise concomitante de dextropropoxyphène est déconseillée avec :
. l'alcool et les médicaments contenant de l'alcool,
. les agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine),
. la carbamazépine,
. la naltrexone.
MISES EN GARDE :
- Le risque de dépendance essentiellement psychique n'apparaît que pour des posologies supérieures à celles recommandées et pour des traitements au long cours.
- La prise concomitante de dextropropoxyphène est déconseillée avec :
. l'alcool et les médicaments contenant de l'alcool,
. les agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine),
. la carbamazépine,
. la naltrexone.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Ce médicament doit être évité chez les patients à tendance suicidaire.
- Grossesse : une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes, n'a pas mis en évidence d'effet tératogène du dextropropoxyphène et du paracétamol administrés isolément.
Le paracétamol, analgésique dépourvu de propriétés anti-inflammatoires, ne paraît pas faire courir de risque foetal lorsqu'il est utilisé au cours des 2ème et 3ème trimestres. Bien que s'apparentant aux morphinomimétiques, l'administration ponctuelle de dextropropoxyphène, dans les conditions courantes de prescription, n'expose pas à un risque de sevrage néonatal. En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin, en traitement bref et en respectant les doses préconisées.
- Associations faisant l'objet de précautions d'emploi : anticoagulants oraux.
- Le risque de dépendance essentiellement psychique n'apparaît que pour des posologies supérieures à celles recommandées et pour des traitements au long cours.
- La prise concomitante de dextropropoxyphène est déconseillée avec :
. l'alcool et les médicaments contenant de l'alcool,
. les agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine),
. la carbamazépine,
. la naltrexone.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Ce médicament doit être évité chez les patients à tendance suicidaire.
- Grossesse : une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes, n'a pas mis en évidence d'effet tératogène du dextropropoxyphène et du paracétamol administrés isolément.
Le paracétamol, analgésique dépourvu de propriétés anti-inflammatoires, ne paraît pas faire courir de risque foetal lorsqu'il est utilisé au cours des 2ème et 3ème trimestres. Bien que s'apparentant aux morphinomimétiques, l'administration ponctuelle de dextropropoxyphène, dans les conditions courantes de prescription, n'expose pas à un risque de sevrage néonatal. En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin, en traitement bref et en respectant les doses préconisées.
- Associations faisant l'objet de précautions d'emploi : anticoagulants oraux.
LIES AU PARACETAMOL :
- Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, oedème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés.
- De très exceptionnels cas de thrombopénie, leucopénie et neutropénie ont été signalés.
LIES AU DEXTROPROPOXYPHENE :
- les plus fréquents :
nausées, vomissements ;
- plus rarement :
. constipation, douleurs abdominales, rash, céphalées, asthénie, euphorie,
. troubles mineurs de la vision, désorientation, somnolence, vertiges,
. hypoglycémie parfois grave, en particulier chez les patients âgés, diabétiques ou insuffisants rénaux,
. hépatite cholestatique, ou mixte.
- Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, oedème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés.
- De très exceptionnels cas de thrombopénie, leucopénie et neutropénie ont été signalés.
LIES AU DEXTROPROPOXYPHENE :
- les plus fréquents :
nausées, vomissements ;
- plus rarement :
. constipation, douleurs abdominales, rash, céphalées, asthénie, euphorie,
. troubles mineurs de la vision, désorientation, somnolence, vertiges,
. hypoglycémie parfois grave, en particulier chez les patients âgés, diabétiques ou insuffisants rénaux,
. hépatite cholestatique, ou mixte.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence, vertiges).
Grossesse :
Une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes, n'a pas mis en évidence d'effet tératogène du dextropropoxyphène et du paracétamol administrés isolément.
Le paracétamol, analgésique dépourvu de propriétés anti-inflammatoires, ne paraît pas faire courir de risque foetal lorsqu'il est utilisé au cours des 2ème et 3ème trimestres.
Bien que s'apparentant aux morphinomimétiques, l'administration ponctuelle de dextropropoxyphène, dans les conditions courantes de prescription, n'expose pas à un risque de sevrage néonatal.
En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin, en traitement bref et en respectant les doses préconisées.
Allaitement :
Ce médicament passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de dextropropoxyphène à des doses thérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
Une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes, n'a pas mis en évidence d'effet tératogène du dextropropoxyphène et du paracétamol administrés isolément.
Le paracétamol, analgésique dépourvu de propriétés anti-inflammatoires, ne paraît pas faire courir de risque foetal lorsqu'il est utilisé au cours des 2ème et 3ème trimestres.
Bien que s'apparentant aux morphinomimétiques, l'administration ponctuelle de dextropropoxyphène, dans les conditions courantes de prescription, n'expose pas à un risque de sevrage néonatal.
En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin, en traitement bref et en respectant les doses préconisées.
Allaitement :
Ce médicament passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de dextropropoxyphène à des doses thérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
LIEES AU PARACETAMOL :
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Anticoagulants oraux :
Risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.
- Interactions avec les examens paracliniques :
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.
LIEES AU DEXTROPROPOXYPHENE :
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine) :
Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
- Carbamazépine :
Augmentation des taux plasmatiques de carbamazépine avec signes de surdosage, par inhibition du métabolisme hépatique de la carbamazépine.
Surveillance clinique et réduction éventuelle de la posologie de la carbamazépine.
- Naltrexone :
Risque de diminution de l'effet antalgique.
- Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicule et l'utilisation de machines.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Autres analgésiques morphiniques agonistes, antitussifs morphine-like, antitussifs morphiniques vrais, barbituriques, benzodiazépines et apparentés :
Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Autres médicaments sédatifs (neuroleptiques, hypnotiques, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques H1 sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène, thalidomide) :
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Anticoagulants oraux :
Risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.
- Interactions avec les examens paracliniques :
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.
LIEES AU DEXTROPROPOXYPHENE :
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Agonistes-antagonistes morphiniques (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine) :
Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
- Carbamazépine :
Augmentation des taux plasmatiques de carbamazépine avec signes de surdosage, par inhibition du métabolisme hépatique de la carbamazépine.
Surveillance clinique et réduction éventuelle de la posologie de la carbamazépine.
- Naltrexone :
Risque de diminution de l'effet antalgique.
- Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicule et l'utilisation de machines.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Autres analgésiques morphiniques agonistes, antitussifs morphine-like, antitussifs morphiniques vrais, barbituriques, benzodiazépines et apparentés :
Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Autres médicaments sédatifs (neuroleptiques, hypnotiques, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques H1 sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène, thalidomide) :
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Voie orale.
Réservé à l'adulte.
- 4 gélules par jour en moyenne et jusqu'à 6 dans les algies rebelles, régulièrement réparties en respectant un intervalle de 4 heures entre chaque prise.
- Les gélules doivent être avalées avec un grand verre d'eau, et de préférence avec une collation.
- En cas d'insuffisance rénale, l'intervalle entre 2 prises sera au minimum de 8 heures (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/mn).
Réservé à l'adulte.
- 4 gélules par jour en moyenne et jusqu'à 6 dans les algies rebelles, régulièrement réparties en respectant un intervalle de 4 heures entre chaque prise.
- Les gélules doivent être avalées avec un grand verre d'eau, et de préférence avec une collation.
- En cas d'insuffisance rénale, l'intervalle entre 2 prises sera au minimum de 8 heures (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/mn).
Durée de conservation :
2 ans.
2 ans.
Sans objet.
- Symptômes de surdosage au paracétamol :
. Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.
. Il faut savoir qu'un dosage à partir de 10 g de paracétamol (150 mg/kg de poids corporel chez l'enfant) en prise unique peut provoquer une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.
Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lacticodéshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.
- Symptômes de surdosage en dextropropoxyphène :
. Troubles de la conscience pouvant aller de la somnolence jusqu'au coma.
. Nausées, vomissements, douleurs abdominales, dépression respiratoire pouvant aller de la simple dyspnée jusqu'à l'apnée.
. Myosis, convulsions, délire, cyanose, collapsus, mort par arrêt cardiaque.
- Conduite d'urgence :
. Transfert immédiat en milieu hospitalier.
. Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique et charbon actif per os.
. Avant de commencer le traitement, prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique du paracétamol et du dextropropoxyphène.
. Le traitement du surdosage comprend l'administration aussi précoce que possible de l'antidote du paracétamol, la N-acétylcystéine par voie IV ou orale, si possible avant la dixième heure et l'administration de naloxone, antidote du dextropropoxyphène.
. Assistance respiratoire.
. Ne pas utiliser d'analeptiques ou de stimulants du système nerveux central car ils peuvent précipiter des convulsions fatales.
. Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.
. Il faut savoir qu'un dosage à partir de 10 g de paracétamol (150 mg/kg de poids corporel chez l'enfant) en prise unique peut provoquer une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.
Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lacticodéshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.
- Symptômes de surdosage en dextropropoxyphène :
. Troubles de la conscience pouvant aller de la somnolence jusqu'au coma.
. Nausées, vomissements, douleurs abdominales, dépression respiratoire pouvant aller de la simple dyspnée jusqu'à l'apnée.
. Myosis, convulsions, délire, cyanose, collapsus, mort par arrêt cardiaque.
- Conduite d'urgence :
. Transfert immédiat en milieu hospitalier.
. Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique et charbon actif per os.
. Avant de commencer le traitement, prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique du paracétamol et du dextropropoxyphène.
. Le traitement du surdosage comprend l'administration aussi précoce que possible de l'antidote du paracétamol, la N-acétylcystéine par voie IV ou orale, si possible avant la dixième heure et l'administration de naloxone, antidote du dextropropoxyphène.
. Assistance respiratoire.
. Ne pas utiliser d'analeptiques ou de stimulants du système nerveux central car ils peuvent précipiter des convulsions fatales.
ANTALGIQUES PERIPHERIQUES / OPIOIDES.
(N : système nerveux central).
Association de 2 principes actifs :
- paracétamol : antalgique - antipyrétique,
- dextropropoxyphène : antalgique central.
(N : système nerveux central).
Association de 2 principes actifs :
- paracétamol : antalgique - antipyrétique,
- dextropropoxyphène : antalgique central.
PARACETAMOL :
- Absorption intestinale rapide et quasi totale.
- Distribution rapide aux milieux liquidiens.
- Liaison faible aux protéines plasmatiques.
- Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion.
- La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures.
- Métabolisme hépatique : le paracétamol suit deux voies métaboliques majeures. Il est éliminé dans les urines sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 pour cent) et sous forme sulfoconjuguée (20 à 30 pourcent) et pour moins de 5 pour cent sous forme inchangée. Une petite fraction (moins de 4 pour cent) est transformée avec l'intervention du cytochrome P450 en un métabolite qui subit une conjugaison avec le glutathion. Lors des intoxications massives, la quantité de ce métabolite est augmentée.
D'après des données récentes, il ne semble pas que le métabolisme du paracétamol soit modifié en cas d'insuffisance hépatique.
Le paracétamol est éliminé sous forme conjuguée ; la capacité de conjugaison n'est pas modifiée chez le sujet âgé ; l'élimination est principalement urinaire.
DEXTROPROPOXYPHENE :
- Résorption rapide.
- La concentration plasmatique maximale apparaît en moyenne en 2 heures (1 à 5 heures) après l'ingestion.
- Demi-vie plasmatique d'élimination en moyenne de 13 heures (2 à 26 heures).
- Métabolisme hépatique : transformation en nordextropropoxyphène principalement (1/2 vie : 16 à 48 heures).
- Elimination urinaire sous forme de métabolites dont certains sont actifs.
- Absorption intestinale rapide et quasi totale.
- Distribution rapide aux milieux liquidiens.
- Liaison faible aux protéines plasmatiques.
- Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion.
- La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures.
- Métabolisme hépatique : le paracétamol suit deux voies métaboliques majeures. Il est éliminé dans les urines sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 pour cent) et sous forme sulfoconjuguée (20 à 30 pourcent) et pour moins de 5 pour cent sous forme inchangée. Une petite fraction (moins de 4 pour cent) est transformée avec l'intervention du cytochrome P450 en un métabolite qui subit une conjugaison avec le glutathion. Lors des intoxications massives, la quantité de ce métabolite est augmentée.
D'après des données récentes, il ne semble pas que le métabolisme du paracétamol soit modifié en cas d'insuffisance hépatique.
Le paracétamol est éliminé sous forme conjuguée ; la capacité de conjugaison n'est pas modifiée chez le sujet âgé ; l'élimination est principalement urinaire.
DEXTROPROPOXYPHENE :
- Résorption rapide.
- La concentration plasmatique maximale apparaît en moyenne en 2 heures (1 à 5 heures) après l'ingestion.
- Demi-vie plasmatique d'élimination en moyenne de 13 heures (2 à 26 heures).
- Métabolisme hépatique : transformation en nordextropropoxyphène principalement (1/2 vie : 16 à 48 heures).
- Elimination urinaire sous forme de métabolites dont certains sont actifs.
Prévenir les patients de l'apparition possible de somnolence et de vertiges (conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines).
Sans objet.
Sans objet.
Liste I.
Gélule blanche et vert foncé opaque.
100 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).